Animation dans les classes
Des associations de médiation scientifique proposent aux établissements scolaires des séances de jeu de deux heures avec un ou deux médiateurs scientifiques qualifiés. Ces animations sont en général payantes sauf si l’association a reçu des financements publics pour les mener.
Le jeu ClimaTicTac permet aux enseignants d’aborder les enjeux du réchauffement climatique de manière ludique, non anxiogène et non culpabilisante. Associé à un parcours pédagogique déterminé par l’enseignant, ce jeu constitue une bonne entrée en matière ainsi que l’acquisition de plusieurs notions des programmes sur ce sujet complexe du développement durable.
Ces animations peuvent également être faites dans d’autres lieux d’éducation, telles les bibliothèques et médiathèques, les ludothèques…
Le temps du jeu
La classe, répartie en 5 ou 6 groupes distincts (tables de 3 à 5 joueurs), joue pendant la première heure et demi. Selon les choix que les groupes feront face aux impacts du changement climatique (adapter les villes et/ou réduire les émissions de gaz à effet de serre), tous n’arriveront pas aux mêmes résultats.
Certains auront perdu beaucoup de villes qui n’auront pas pu s’adapter au changement climatique, d’autres auront fait exploser les émissions de CO2 et auront ainsi généré des aléas climatiques en cascade…
D’autres enfin auront à la fois su adapter les villes aux impacts du changement climatique, restreindre les émissions de CO2 dans des limites acceptables et ainsi contribuer au mieux vivre des populations.
Le temps du debriefing
Lors de la dernière demi-heure, un débat général permet aux groupes d’élèves de comparer les choix qu’ils ont fait et les impacts que cela aura eu sur l’état de la planète. En plus des informations et des connaissances distillées au fur et à mesure de la première heure par le médiateur, l’heure du débat est vraiment un temps consacré aux questions globales liées au réchauffement climatique : Quelles en sont les causes ? Quelles seront les conséquences pour l’environnement naturel et l’avenir des humains ? Comment peut-on adapter les villes et limiter nos émissions de gaz à effet de serre ?
En région parisienne
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En région toulousaine
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